Mini-camp ski de fond - Lamoura

11 participants se retrouvent à La Lande au Brassus pour le café. Les pistes de la région ne sont guère en état et la troupe se dirige vers le site de La Vattay, entre La Givrine et La Faucille. Le temps se lève et c'est sous le soleil que tout le monde se met La Germine, une rouge de 15.5 km, sous les spatules, avec un aimable pique-nique en cours de route. Mais certains ne sont pas rassasié et les plus valeureux avalent encore La Pillarde, une bleue de 8 km. Départ ensuite pour notre camp de base, l'hôtel La Spatule à Lamoura.

Deuxième jour, c'est la Baladaski que les organisateurs ont mis au menu. Mais ils n'avaient pas capté que cette balade commençait en réalité par une montée en téléski ! Celui-ci n'étant pas encore en fonction, c'est à ski et à pied que nous remontons les 200 mètre de dénivelé. Un parfait échauffement, sous un soleil radieux. Ravitaillement au chalet de la Frasse, après un supplément de Tuffes pour les plus affamés de ski et retour aux voitures à La Combe du Lac. Le tout sous un soleil radieux une température plus printanière qu'hivernale (environ 15 et 20 km).

Troisième jour, départ skis aux pieds de Lamoura. Par Les Arobiers et Bois de Ban à Prémanon. Le bistrot prévu étant introuvable nous nous rabattons sur le tout nouveau restaurant du magnifique ensemble architectural de l'Espace des mondes polaires (ancien musée Paul-Emile Victore). Certains rejoignent à La Darbella la voiture déposée le matin. Les autres rentrent à ski et bouclant Bois de Ban et Arobiers. Des pistes superbes, tout en montagnes russes (environ 15 et 26 km).

Vendredi, le temps est à la pluie/neige et nous sommes rassasiés de beau ski. Nous visitons l'Espace des mondes polaires, entrevu hier, et qui mérite amplement un détour avant de rentrer tranquillement à la maison.

En résumé, un mini-camp réussi : excellentes conditions de neige, hôtel sympa et bonne humeur, tous les ingrédients nécessaires étaient au rendez-vous. Mais nous avons aussi dû constater que les connaissances encyclopédiques de Jean-Francis Mathez et Jean-Claude Schnoerr sur toute la région faisaient cruellement défaut !

 

Werner Frick