Les Courses > Sentier du réservoir
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Combe du Pilouvi - Les Escaberts

Combe du Pilouvi – Les Escaberts

 



Malgré une météo à ne pas mettre un chien dehors, onze inconscients décident de suivre le chef de course très consciencieux, qui est allé quand même reconnaître la course la veille sous la pluie.



 



Suivant la ballade de la sorcière, nous nous engageons dans la combe qui n’est ni une cluse ni une gorge… ! La montée le long du ruisseau de Vaux qui se déverse en nombreuses cascades et chutes est spectaculaire, tant la quantité d’eau est importante, mais aucune des fées du groupe ne s’est baignée sous le regard des sorciers.



 



Sortis de la forêt, nous sommes assaillis par une tempête de neige. Très vite, on mesure un bon 5 cm de neige sur le sol. Nous sommes soulagés de trouver l’abri forestier du Petit Gibet pour le pic nic de midi. Dans ce chalet en rondins venteux, on a la vue sur un magnifique totem, qui constitue le record du monde de la plus haute sculpture verticale faite à la tronçonneuse.



 



Ensuite, départ du Gibet sous la tempête de neige pour retrouver, en s’approchant du littoral, un radieux soleil avec vue sur les deux lacs. Un grand merci à Claude pour les précieuses explications géologiques sur les roches calcaires : le portlandien et le purbeckien.



 



Simone avec le concours des participants


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Ski de rêve autour de la Gemmi


Plan B de rêves 16-17 mars



La course était intitulée ski de rêve à la Gemmi. Le Schwarzhorn. était notamment au programme.



Mais, vendredi 15 le bulletin constatait un fort danger d'avalanches pour ce jour-là et la météo annonçait un fort foehn pour le dimanche. Cela faisait beaucoup de "fort". Inquiétude. La course allait-elle avoir lieu?



Ouiii! Bernhard et Martin l'ont transformée en freeride samedi sur les pistes sécurisées mais non damées du domaine skiable de Loèche les bains et course à peau de phoque dimanche au Wildstrubel.



Yes!



Bon la neige a été déconcertante, tellement qu'un des deux skis de B. s'est brutalement rompu et métamorphosé en arc de tonneau entraînant par la suite une ou deux chutes. Les participants, solidaires, ont aussi essuyé quelques chutes spectaculaires mais sans gravité (quoiqu'avec traces de femmes battues).



Mais le soleil et le plaisir étaient au rendez-vous.



Puis un panorama à couper le souffle dans un luxueux nid d'aigle à l'Hôtel de la Gemmi (la Lämmerenhütte étant complète).



Le lendemain, en route pour le Wildstrubel, enfin le "Mittlerer Gipfel du Wildstrubel. Au sommet c'est le bonheur!

Heureux sans s'attarder,  même le thé s'envole

Reconnaissants



Un grand merci aux deux organisateurs



Véronique


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Le Châtillon (2478m)

Récit suit

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Rando au pied du JuraVaudois - Source de la Venoge

Rando au pied du Jura – Source de la Venoge

Jeudi 21 mars, premier jour du printemps, nous sommes 17 à partir à la découverte de la Venoge.



Le ciel bleu azur  et la bise ne calme pas notre enthousiasme. Nous traversons le petit village de l’Isle et admirons son bassin et son château à la française.



Septs sources créent la Venoge, nous en découvrons deux dont un puits vauclusien. De là nous montons à travers une grande forêt de hêtres.



Sur un coteau nous admirons des anémones pulsatilles.



La pause picnic se fait au soleil, à l’abri  d’une forêt de buis et avec le panorama des alpes en face de nous.



Pour terminer,  nous passons à la Tine (cuve) de Conflens où se rejoignent le Veyron et la Venoge. Un petit café au soleil clôt notre journée.



Merci Danièle et Katy pour cette belle découverte!



4 dames au soleil


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Simplon plaisir

Simplon Plaisir

Un titre bien mérité !



L’Hospice du Simplon est accueillant, les douches chaudes, les dortoirs gigantesques, avec des salons douillets. On peut même pratiquer le ping-pong et le babyfoot !



Un petit restaurant avec une terrasse où lézarder et attraper des coups de soleil.



Temps splendide, température clémente, avec, toutefois, un vent agressif lundi.



De la neige de rêve : neige dure ou « moquette » de printemps.



Un riche panorama à 360 degrés.



Une équipe motivée, chaleureuse et compétente.



Des pentes raides à souhait.



Samedi : Galehorn (2778m) 1000m de montée avec un départ à 10h et une fantastique descente, malgré l’heure tardive, en pente SE de 35 degrés dans le Ritzitälli.



Dimanche : la classique du coin : Breithorn (3437m), 1500m de dénivelé. Départ et retour à ski depuis la porte de l’Hospice. Descente mémorable en neige dure ou neige de printemps.



Lundi : le vent d’ouest agressif ne nous a pas empêché d’atteindre le Magehorn (2620m) depuis Alter Spittel. Nous bénéficions de deux descentes en neige de printemps raides à souhait ; tout d’abord la pente sommitale à 35-40 degrés et la plongée sur les marécages de Gempisch.



Que demander de mieux ?  A refaire.



Merci à Anne-Laurence, Christelle, Anne-Lise, Isabelle, les deux Christines, Joseph et Pierre d’avoir permis cette belle expérience.



Jean-Michel


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Dolent (3820 m) dans la journée

Mont Dolent (3820m) – 24.3.19



3 premières, pour un sommet sur 3 pays



Pour une fois, pas besoin de mettre le réveil pour cette course le rdv étant fixé à 2h30 pour le regroupement à Yverdon. Christophe, Jean-Daniel et Michel sont déjà là. Jonas arrive quelques minutes après. Lucie nous rejoint à Martigny et après quelques changements de sacs et la répartition des cordes nous partons à 4h30 de La Fouly. La nuit est calme et le ciel est dégagé, les sommets couverts de blanc qui nous entourent se dégagent au clair de la Lune. Cette dernière nous montre le chemin en direction du petit col Ferret. Le rythme annoncé par Christophe, notre chef du jour pour sa première avec le CASN, était rassurant « rythme tout le monde en haut », ce qui  convient à tout le monde et ça papote bien en montant…!

 Le jour se lève peu avant le col Ferret où nous profitons d’une petite pause avant de passer en Italie. Nous pouvons commencer à admirer le massif du Mont Blanc lors de léger contretemps au passage un peu plus technique. Nous continuons notre avancée avec le glacier de Pré de Bard devant nous. Nous profitons du refuge Cesare Fiorio pour prendre le petit déjeuner et faire les réglages d’un appareil photo récalcitrant. Un groupe parti une heure plus tôt nous a bien chauffé le local et nous reprenons des forces avant la 2ème moitié du dénivelé. N’ayant pas assez avec ces 2200m de dénivelé j’ai la bonne idée de laisser mes lunettes à la cabane ce qui m’offre encore 200 m en cadeau. Je fais fort pour ma première avec le CAS NE…



Le Mont Grépillon et notre sommet du jour sortent de l’horizon et constituent de belles sources d’inspiration. Une fois le groupe rattrapé, remercié pour sa patience, nous continuons jusqu’à une pente abrupte. Le groupe qui avait dormi au bivouac s’épuise en montant à pied, de notre côté avec nos couteaux bien fixés nous passons ce point clé sans y laisser d’énergie... L’altitude, mon dénivelé supplémentaire et les quelques restes de ma récente petite commotion cérébrale me font monter un peu dans les tours et je ressens un petit mal de tête.



Vers 3600 m nous posons nos skis et repartons ensemble avec nos crampons, piolet et bâton pour certains d’entre nous. Christophe calmement  nous donne le rythme, je suis ses marches relativement rigides. Encore un dernier effort d’équilibre sur la crête sommitale et nous atteignons la Madone et à 11h00 le sommet du Mont Dolent. Objectif réussi 155 ans après un certain Edward Whymper. La vue est dégagée et nous pouvons observer une bonne partie des Alpes Valaisanne, le Mont Blanc et de nombreux autres sommets. Notre sommet suisse triangulaire le plus emblématique reste lui masqué par le Grand Combin. Quelques photos de groupe, un croisement avec une autre cordée et nous repartons.



Mon mal de crâne augmente petit à petit, mais j’ai la chance d’être compris par la Madone qui elle aussi n’a plus toute sa tête au sens propre. Lucie m’accompagne avec bienveillance lors de la descente où nous croisons quelques autres groupes. Une fois les skis aux pieds les douleurs repartent et nous pouvons tous apprécier la longue descente dans une neige qui a eu le temps de réchauffer un peu. Dans la Combe, la neige est un peu plus changeante et freine de temps à autre mais ça reste du bon ski.



A la Fouly, nous nous posons sur la terrasse pour boire la bière bien méritée. Hélas le garçon est débordé et après de longues minutes nous décidons de changer de table, la petite table devant le magasin du dessous fait bien l’affaire. Merci à tous pour cette belle journée.



Pour une première au rapport, Julien