Les Courses > Sentier du réservoir
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Wildstrubel en traversée

La course s'est déroulée dans des conditions de visibilité parfaite. La planning prévu à été respecté. 4h jusqu'au sommet, 3h58 effectif! Arrivé à l’arrêt de bus avec 35 minutes d'avances.

Très content d'avoir dirigé cette course dans un ambiance détendue ou chacun à eu du plaisir.



Stéphane


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4 courses faciles le mardi

Sans neige dans la Jura, nous sommes allé gravir l'Ammertespitze.

Arrivé à Engstiegenalp, le brouillard et la bise ont été nos amis jusqu'à l'Ammertepass. Nous avons la chance de pouvoir déguster notre pic-nic au sommet, sous un délicat soleil et sans bise.



Je suis hyper content d'avoir trouver l'itinéraire dans la brouillard en m'aident de temps en temps de ma boussole. Je suis arrivé à seulement 40m de l'Ammertepass. Nous avons pu descendre dans une excellente neige poudreuse d'une dizaine de centimètre. Que du bonheur pour les seuls deux valeureux de cet dernier mardi facile.



Stéphane


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Haute-route du Tödi

Jour 1

Jeudi 28 mars 2019 7h00, nous voilà, skis aux pieds, devant la pension Piz Calmot à Oberalppass, où nous avons passé la nuit. Et c'est donc parti pour 5 jours de rando, encadrés par nos deux supers chefs de course, Gilles et Bastien.  Le but de la semaine : se faire plaisir en gravissant tous les jours un sommet à plus de 3000m et finir en apothéose le lundi 1er avril au sommet du Tödi appelé également Piz Russein.



En plus de nos deux chefs de course, la fine équipe est composée de Camille (le petit jeune de la bande mais déjà très expérimenté), il y a également Rod'g, Torchon et Babas (des surnoms qui n'engagent que le rédacteur de ce texte) et bien sûr, Susanne (seule femme du groupe, elle soulignera le plaisir de se laisser servir par tous ces messieurs aux petits soins pour elle).  Bien que nos expériences respectives de la montagne fussent très variées, l'esprit d'équipe et l'attention des chefs de course nous permettront de tous passer une excellente semaine en symbiose parfaite.



Le premier jour, nous attaquons donc le Piz Giuv (3096), une mise en bouche assez corsée qui n'aura d'égale que la magnifique descente de pente vierge et poudreuse jusqu'à la cabane Etzlihütte, où nous passerons notre première nuit. Arrivés à cette dernière, Bastien et Camille, qui n'en ont pas assez, repartent pour une petite ascension d'environ 600m ce qui nous permet d'admirer leurs courbes (à ski) tout en sirotant nos bières bien méritées.



Jour 2



Le deuxième jour est consacré à l'ascension de l'OberalpStock (3328). Une jolie montée accompagnée par quelques chamois et une magnifique descente jusqu'à la cabane non-gardiennée Camona da Cavardinas. Nous y arrivons en début d'après-midi et nous nous employions à allumer un feu et à faire fondre de la neige afin d'avoir de l'eau en suffisance. Nos chefs de course qui ont pensé à tout, ont prévu de la polenta aux bolets afin de se faire un très bon souper. À notre grand bonheur, et bien que non-gardiennée, la cabane offre quand même de quoi se désaltérer.



Jour 3



Le lendemain matin, nous partons très tôt et pouvons directement goûter à la poudreuse sous les étoiles. C'est féerique. Le soleil se lève en même temps que nous entamons notre ascension. Nous passons le premier couloir munis de crampons + piolet. De l'autre côté de ce dernier se présente une très belle pente de neige vierge qui nous amène jusqu'au pied du Chli et Gross Dûssi (3256m), les objectifs de la journée.



Nous arrivons au sommet, en sueur pour certains, avec un peu d'escalade. Nous redescendons ensuite sur le glacier de Hufifirn et le traversons pour rejoindre la cabane de Planurahütte. 11 heures de course, 2200 m de D+ et beaucoup de manipulations (crampons, cordes, couteaux, peaux, on recommence, etc…) nous font apprécier la beauté du lieu. Nous y retrouvons d'ailleurs une autre équipe du CAS Neuchâtel (groupe de Rolf) qui passera la nuit là. Quelques bières plus tard, c'est vite l'heure d'aller au lit pour un repos bien mérité.  



Jour 4



Le quatrième jour, nous le commencerons donc avec l'ascension du Clariden (3267m) en compagnie forte agréable de l'autre bande du CAS Neuchâtel guidée par notre Rolf Eckert national. Nous continuons notre route par l'escalade de quelques couloirs magnifiques au pied du Chli Tödi et rejoignons la cabane de Fridolin dans un décor magnifique.



Il est important de souligner que si les ascensions sont parfois physiques et engagées, nos chefs de course ont mis un accent tout particulier sur la beauté des descentes. Nous nous émerveillons tous les jours de la multitude des paysages environnants.



En ce dernier dimanche du mois de mars, la cabane de Fridolin et pour le moins prise d'assaut. Qu'à cela ne tienne, nous ne manquons pas de sympathiser avec les personnes qui partagent notre table et de boires quelques bières.



Jour 5



Le lendemain matin, c'est le dernier jour de notre épopée. Nous gravissons le Tödi (3613m). Il y a pas mal de monde sur cet itinéraire. Nous arrivons au sommet avec beaucoup d'émotions, fiers d'avoir réalisé nos objectifs de ces 5 derniers jours.  Une fois de plus, nos chefs de course ont une bonne idée. Ils nous proposent de redescendre par le côté Grisons de la montagne. Excellente idée qui nous permet de ne pas emprunter le même chemin qu'à la montée et de nous retrouver en fond de vallée à Punt Grunda, à quelques kilomètres de Disentis. Là, nous reprendrons le train pour rentrer à Neuchâtel, non sans avoir pris soins d'en boire une petite pour se féliciter.



Merci à tous pour cette expérience inoubliable, super équipe, supers amis, supers chefs de course, supers randos.



Babas le bleu de la bande


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Nous allons dire bonjour a ÖTZI

Venter Runde, Oetztal 27-31.03.2019 - Organisateur: Erich Tanner

ParticipantEs: Philippe, Pascale, Michel, Maryline, Camille et Marylaure



 



C'est à la Martin-Busch-Hütte que le groupe se complète, rejoint par une expatriée viennoise. Le jour suivant nous partons pour le sommet du Similaun (3606 m), puis redescendons pour la cabane Bella Vista en passant par le lieu de découverte de la très fameuse momie „Ötzi“ puis par le col de Hauslab (3283m). La cabane Bella Vista nous réserve une délicieuse surprise culinaire et l'occasion de prendre une dernière douche, malheureusement pas chaude pour tous, oida! Les cloques des premiers kilomètres pansées et les estomacs réjouis, nous voici requinqués pour entamer la troisième journée. À l'aube, nous partons donc pour le sommet de la Weisskugel en passant par le col de Im-Hintern-Eis (3269m). Du haut de ses 3739 m, la Weisskugel nous révèle un paysage enneigé sous un soleil des plus radieux. Devant nous se déroule le panorama depuis les Dolomites au massif de la Silvretta en passant par la région de l'Ortler et de l'Engadine, qui malgré les petits -11°C ventés, nous laissent admiratifs et contemplatifs. Après une belle descente sur le glacier du Hintereis, nous rejoignons en milieu d'après-midi l'hospice du Hochjoch (2413m) et recevrons une seconde tournée de spaghetti-bolos, arrosés pour l'occasion d'une eau-de-vie locale, le Zirbenschnapps (alcool de pin Arolle). Le 4ème jour, c'est la cabane de Vernagt que nous rejoindrons par Oberes Guslarjoch (3361m) et le glacier du Guslar (Guslarferner). Nous croisons au sommet de la Fluchtkogel (3497m) un groupe accompagné de deux professionnels, guides de haute montagne, qui ont l'audace de redescendre le sommet en crampons par l'arête NW et entamer une superbe descente dans une pente quasi sans traces. Non mécontents non plus de nos conditions de ski jusqu'à destination, nous trinquerons aux superbes conditions météo dans une Vernagt bien remplie et animée pour toute la soirée. Le matin du 5ème et dernier jour, nous montons dans l'ombre de la Hinterer Brochkogel et le vent descendant du glacier jusqu'à atteindre les premiers rayons de soleil au niveau du  Brochkogeljoch que nous escaladerons en file indienne avec les autres groupes partis le même matin de la cabane. Après avoir contourné la Vorderer Brochkogel, c'est le plus haut sommet autrichien qui se détache devant nos yeux, la majestueuse Wildspitze (3774 m), déjà assaillie par une bonne dizaine de groupes, la plupart venant depuis le Pitztal. Je compterais plus de 120 personnes en route pour le sommet jusqu’aux environs de 11 heures, une moyenne locale pour un dimanche ensoleillé. La descente finale à ski par le couloir NE du Mitterkarjoch (3470m) s'occupera de vider nos dernières réserves d'adrénaline et tester nos capacités de concentration après environs 70 km parcourus sur plus de 6000 m de dénivelé positif avalés ces cinq derniers jours. Le retour sur Vent se fait réjouissant par les pistes de la station où nous nous retrouvons autour d'une dernière bonne tablée autrichienne.



Des conditions météos excellentes nous auront en effet ont accompagnés durant 5 jours au-dessus de la limite de la forêt (immense étendue de pin Arolles). Même si nos pieds sont peut-être cloqués et nos articulations un peu plus utilisées que d'habitude, nous revenons en plaine toutes et tous entiers, certainement régénérés par un environnement et des paysages à couper le souffle.



Un grand merci à Erich pour toute l'énergie dépensée à organiser les cinc jours de course qui comprennent la planification de l'itinéraire, les réservations des cabanes et la gestion du groupe en terrain alpin au quotidien, et bien plus encore: Oida !



Bravo à toutEs les participantEs pour l'accomplissement d'un tel tour dans une très belle énergie, patience et persévérance dans toutes les sortes d'épreuves durant ces cinq jours intensifs.



J'aimerais également tirer mon chapeau à toutes les petites mains ouvrières et responsables des cabanes qui se chargent de notre hébergement de manière remarquable de avant le lever à après le coucher du soleil durant ces tours.



 



La course en résumé et mots clés:



Jour 1: Montée à la Martin-Busch-Hütte (2501 m) depuis Vent (1900m), par le Niedertal, Autriche



Jour 2: Similaum (3606 m), Ötzi Fundstelle (Tisenjoch 3200m), col de Hauslabjoch (3283m), cabane Bella Vista (2846 m), IT



Jour 3: Weisskugel (3739 m) par le col de Im-Hintern-Eis (3269m), descente par l'itinéraire de montée (glacier de Hintereis), nuitée à l'hospice du Hochjoch (2413 m)



Jour 4: montée à la Vernagthütte (2755 m) en passant par le Fluchtkogel (3497m). Descente depuis le Oberes Guslarjoch (3361m) et le glacier du Guslar (Guslarferner).



Jour 5: Wildspitze (3774 m) par le couloir du Brochtkogeljoch et redescente sur Vent par le couloir NE du Mitterkarjoch (3470m) en passant par la cabane Breslauer (2848 m).



 



Hihglights: traversées optimales des glaciers, itinéraire facile á repérer,  prix des cabanes par rapport à la Suisse, douches et repas exceptionellement gourmet à la cabane Bella Vista en plus de son „alpine wellness corner“ ;-), eau potable (cristalline) aux robinets de toutes les cabanes.



Lowlights: fréquentation de l'itinéraire, y compris hors des jours fériés, remplissage méthodique des chambres en cabanes, pas vu un seul lagopède alpin en une semaine.



 



Texte: une ex-membre-future-membre de la section



P.S: que veux dire oida? https://www.youtube.com/watch?v=iuXR53ex4iI



 


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2019-03-28-des-bords-du-doubs-aux-eoliennes-de-st-brais

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Région de Bâle: Architecture, point de vue et auto

Course A: 28.3.2019

Dans la région de Bâle : architecture, point de vue et automates à musique



Nombre de participants : 20. La course s’est déroulée comme prévu au programme, sous un temps radieux, mais avec un vent glacial ici et là. En train jusqu’à Dornach-Arlesheim. Ensuite, visite de la Cathédrale d’Arlesheim, de style baroque-rococco, siège du chapitre de l’évêque de Bâle, alors que le prince-évêque résidait à Porrentruy. Ensuite, nous découvrons le Goetheanum, siège des anthroposophes, mais également les bâtiments des environs de même style. Il est temps de passer à l’effort : nous montons à la Schartenfluh, mieux connu sous le nom de Gempenstollen. Superbe vue depuis la tour : Forêt noire, Jura bâlois et soleurois, agglomération de Bâle, et au loin les Vosges. Après le pique-nique, nous continuons jusqu’à Seewen. Nous y visitons le Musée des automates à musique sous la conduite d’un guide, qui nous a offert une visite privée, et en français. Retour en bus et train à Neuchâtel.



Merci à François G. pour le magnifique reportage photographique, comme toujours très apprécié. Merci à Alexandre de m’avoir assisté et à tous les participants d’être venus découvrir un coin du nord-ouest suisse, où j’ai grandi.



Alfred