Les Courses > Sentier du réservoir
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Schwenden - Seebergsee - Zweisimmen

Schwenden (Diemtigtal) – Seebergsee - Zweisimmen (Simmental)

C’est par une journée annoncée nuageuse, et qui le restera pendant toute la course, qu’à 7 participantes, nous atteignons Schwenden dans le Dimtigtal en TP. La course proposée par Doris remplacée pour cas de force majeure par 2 vaillantes cheffes de courses, débute par une montée raide, sur un sentier en zigzags très agréable, suivie par une crête dans les pâturages, le long du Seeberg, en face du Girehore. Une petite descente suivie d’une nouvelle montée nous permet de découvrir le Seebergsee, dénommé la perle du Diemtigtal. C’est au bord du lac après 3h d’effort que le pique-nique peut être apprécié, en admirant le site et une cane avec ses 5 tout petits canetons. Il faut repartir car 3 h de randonnée nous attendent encore, pour atteindre Zweisimmen. Le chemin est très varié : pâturages bien raides, sentiers forestiers, et chemins blancs s’alternent. (Une course sans pratiquement de goudron).



Belle course, merci à Kathy et Christine pour l’organisation.



Christiane


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2019-07-13-cours-de-grimpe-alpine---initiation

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Dossen (3138m) par le Dossengrat

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Viens jouer des castagnettes: La Dent de Morcle

Fusion de 2 sorties pour cette magnifique fin de semaine. Objectif du samedi: travailler sur l’acrophobie à Barberine les uns dans la bienommée “Sylvie Phobie” et les autres dans le “Magicien D’Oz” deux très belles voies sur cette paroi. L’objetif Dent de Morcles a été abandonné pour cette sortie: trop de neige encore présente dans les vires et sur quelques passages dans la descente à pied. Nous irons jouer des castagnettes au Perrons de Vallorcine en face sud. Encore un chef d’oeuvre de Michel Piolat, la voie “Au coeur de l’Anticyclone” nommée ainsi en souvenir d’une ouverture au Torres Del Paine, ca fait rêver...rien à jeter dans cette splendide voie et pas besoin d’aller aussi loin que le Chili pour s’entrainer aux castagnettes. Engagement entre les points, jusqu’a 6 m parfois, passages bien pêchus avec ce qu’il faut de Vide, traversée “de la mort” et autres gâteries. Une voie ambiance alpine garantie avec une splendide marche d’approche en balcon face au Mont Blanc, d’un peu plus que 2 heures en font une sortie plus que complète.

Pour le récit: Vincent


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Le Bishorn (4153 m)

Récit sous forme d’extrait du rapport technique :

La course s’est déroulée avec un programme adapté au retour de la neige plus important que prévu dans la nuit précédant l’ascension :



14 juillet : près de 1600 m de montée de Zinal à la cab. Tracuit (3259 m). Belle ambiance alpine de début de saison. Nous retrouvons 9 sympathiques alpinistes de la course Lundi-X menée par Adrien et André. 



15 juillet : départ à 09:00, au lieu de 06:00, dès que la neige cesse de tomber et avec l’espoir que le ciel se dégagera. Le ciel reste voilé. Nous sommes dans la brume. Il faut faire la trace et attention aux  crevasses recouvertes de neige fraîche. La progression est lente. A 12:30, nous sommes à 3735 m, déjà haut sur la face NO du Bishorn. Nous n’atteindrons pas les 4000 m avant 13:00, heure limite de sécurité avec ces conditions. De plus le sommet est bouché. Décision est prise de retourner à la cabane.  Il ne fait pas froid et nous mangeons quelque chose avant d’entamer la descente dans un léger brouillard. Même sans avoir atteint le sommet, cette course est une belle expérience alpine et une bonne aération !



16 juillet : pose photo devant la cabane avec le groupe d’Adrien. Après un départ sur des rochers partiellement enneigés, descente tranquille vers Zinal avec une vue magnifique sur la Couronne impériale. 



Nous partageons encore un très bon petit lunch au Tzoucdanna avant de rentrer.



Course appréciée néanmoins. Bonne ambiance !



Jacques



 


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Champéry-Morgins

récit:

Champéry – Morgins, 17.7.2019



 



A Planachaux, au sommet du téléphérique, notre 1er réflexe est de grimper jusqu’au point de vue de la Croix du Culet. C’est raide, mais en vaut la peine. Le ciel est clair, la vue est belle … sur les Dents du Midi, les Dents blanches, le Mont Ruan, et  d’autres bien sûr.



Un chemin à flanc de coteau nous conduit au pied d’une pente assez raide qui mène au col «  Des Portes de l’Hiver » 2096m. Nous n‘avons pas seulement affronté la pente, mais aussi les cyclistes qui la dévalaient sans trop d’égards, en sautant joyeusement par-dessus les cailloux. Non loin de là, en contre-bas, le « Lac Vert » nous attend pour le pique-nique. Quelques personnes y trempent les pieds, d’autres pêchent à la ligne.



Après cette pause appréciée, nous continuons notre route. Que de la descente nous promet Marielle ! on a eu tort de s’en réjouir, elle était rude. Les rhodos étaient en fleurs, ainsi que les petites gentianes, les anémones, et même, comme la neige venait de fondre, les soldanelles. Nous passons près du lac de Chésery, d’un beau bleu, puis longeons la cascade de la Fontaine Blanche et la Vièze de Morgins en nous octroyant une pause à la buvette hantée…à non, pardon, En Tey. Maintenant, le chemin est facile, agréablement frais. Nous passons plusieurs fois d’une rive à l’autre de la rivière et arrivons bien à temps à Morgins pour prendre notre car.



Nous sommes juste sainement fatiguées et pleinement heureuses. Merci Marielle et Christiane pour cette belle course.



                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Irène