La Brévine -Le Mont Châteleu - La Brévine, à raque

Tout au long du parcours entre Neuchâtel et la Brévine en train et en bus, le groupe se constitue. A l’arrivée  ce sont 12 participantes qui se retrouvent pour la première sortie en raquettes de la saison. Par le Crêt Théophile, la Combe des Charmottes nous atteignons le Mont Châteleu (1300m) à l’heure du pique-nique puis retour par le même itinéraire. Belle vue sur le Vallée de Morteau - Villers le Lac. La neige est légère, agréable, la nature toute de blanc vêtue, le soleil est éblouissant, décor de rêve. Nous avons même pu observer les traces d’un lynx. Nous prenons le temps de nous arrêter au « Loup Blanc ». MAGNIFIQUE journée. D’autant plus qu’au moment où je rédige ces lignes, 2 jours plus tard, la neige a déjà disparu….Un grand MERCI à nos GO du jour Odile et Hélène. Mary-Jeanne

Münsingen - Bern

Randonnée au bord de l’Aar, de Münsingen  à la gare de Bern, en passant par Auguetbrügg – Fähri – Tierpark – et le pont de la Lorraine.

Dent de Morcles 2969m

Dent de Morcles à Chalberhöri, Mariannehübel, Grimmifurggi, 15 décembre 2019

Dent de Morcles bien trop exposée au vent pour mériter x heures de route… Sage décision des chefs de course, Manu et Christophe, d’aller faire un tour du côté du Diemtigtal, plus abrité.

A l’arrivée… oups peu de neige… La pluie a ravagé la belle poudre tombée ces derniers jours… Cela donne à l’équipe l’occasion de tester la fraîcheur et la jeunesse des gambettes en yoghurt en début de saison et… ma foi, de réapprendre à skier dans… toutes les neiges possibles et inimaginables, sauf… la poudre !

Mais la motivation est au beau fixe, les taquineries habituelles bien là et une super chouette ambiance qui nous poussent au sommet de Chalberhöri, Sommet de la Saucisse (c’est juste Rolf, cette traduction ? Manu prétend que oui…), petite descente de rêve (quelle neige, les amis !) et on remonte à Mariannehübel. Où est la neige ? Pas grave, pas l’ombre d’une touchette grâce à la maîtrise du ski en toutes conditions.

Enfin, parce que c’est tellement beau et que… il faut en profiter ! Allons dire bonjour au Rauflihore, tellement dénudé par le vent qu’on s’arrêtera au col (au grand soulagement de certains !). Descente finale dans une poudre jusqu’aux oreilles et récupération supra méritée avec des frites bien grasses comme on les aime et une bière bien bonne à Grimmialp après… 2150 mètres de dénivelé? Peu importe, c’est surtout la chouette compagnie et les magnifiques paysages qui comptent!

Un grand merci aux chefs de course, Manu et Christophe, et au reste de la fine équipe : Vincent, Silvio, Michel et Carlos pour la super sortie qui fait du bien aux zygomatiques, chauffe les cuisses et met du baume au cœur.

Lucie, qui a même eu droit à un arrêt en pleine vitesse par le chef de course, jaloux de la qualité de son fartage…

Ski de fond ou T2

Huttwil – Willisau

En raquette en boucle depuis Ste-Croix

En boucle depuis Ste-Croix.

cf. la dernière photo.

Aération des peaux : Diemtigtal/Simmental/Valais

Que de miracles pour monter au Bodezehore (2350m) en face de la Männliflue près de Griesalp dans le Diemtigtal.

Après cinq jours de foehn agressif, la neige n’était qu’un souvenir. De plus, il pleuvait au moment du départ. Enfin, il ne restait plus que six optimistes sur les 10 inscrits!  Au café dans le Diemtigtal, la pluie s’est transformée en gros flocons humides.

Mais….., il a arrêté de neiger au moment de mettre les peaux, 5cm de neige fraîche avaient recouvert l’herbe, les nuages se sont effilochés et c’est au soleil que nous avons atteint l’arête sommitale après 1000m de montée. La descente sous un ciel sans nuages s’est déroulée dans 10cm de poudreuse presque sans toucher un caillou. On a même pu skier jusqu’à la voiture grâce aux 3cm de neige et d’herbe gelée en raison d’un brusque refroidissement.

Enfin, il n’y avait personne d’autres dans cette vallée si fréquentée. Du jamais vu en 35 ans!    Que de petits miracles!!!

Sans parler de la bonne ambiance. Bravo à Pascale et Pascal, Christelle, Christine et Pierre, Claudine pour leur optimisme roboratif.

Jean-Michel Oberson